Cette circulation est régulièrement entravée par des tensions musculaires qui sont un moyen que l'organisme utilise pour se protéger de ce qu'il perçoit comme une agression.
Si l'organisme sait se protéger, il a aussi la capacité – le plus souvent ignorée – de relâcher celles des tensions devenues inutiles. Mais comme certaines d'entre elles sont devenues chroniques, le relâchement ne pourra se faire pour elles que par une pratique dans la continuité.
• Tout relâchement par une action volontaire corporelle finit par trouver ses limites que le Mouvement Régénérateur annule et dépasse. Il ne s'agit donc pas d'une action volontaire : c'est le domaine du « non-faire » comme le disait le japonais Itsuo Tsuda qui l'a introduit en Europe en 1973.
Il se pratique sans technique et sans connaissances à acquérir.
Olivier HUMBERT
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